вторник, 30 сентября 2014 г.
понедельник, 29 сентября 2014 г.
суббота, 27 сентября 2014 г.
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Le substantif
Le substantif
1.2. Classes
sémantico-grammaticales des substantifs.
D'après
leurs caractéristiques sémantiques et grammaticales déterminées en fin de
compte par la nature de l'objet désigné, le N
se subdivise en sous-classes lexico-grammaticales. On distingue ainsi les
substantifs: communs/ propres, concrets/abstraits, numériques/anumé-riques,
discontinus/ continus, collectifs, uniques, animés/inanimés, indépendants/
relatifs. Chacun de ces groupes a ses particularités quant à l'emploi des
articles, le fonctionnement de la catégorie du nombre et du genre, les
fonctions syntaxiques, les possibilités de se combiner avec certaines classes
sémantiques de verbes et d'adjectifs.
1.3. Groupe syntaxique nominal. Fonctions syntaxiques des substantifs.
Faisant partie d’une proposition , le N
se manifeste comme forme syntaxique qui
est formée par :
a) la présence d’une préposition et de
l’article ;
b) la position de N par rapport aux autres mots.
Le substantif est la PdD la plus polyfonctionnelle :il peut
avoir toute fonction sans
passer morphologiquement dans
une autre partie du
discours. On distingue
les fonctions syntaxiques primaires et secondaires.
Aux
fonctions syntaxiques primaires
se rapportent celles
ou la situation décrite exige la
présence d’un mot dénotant une substance.
Dans
ses fonctions secondaires
N perd la
signification de substance et
peut être remplacé par un Adj, un Adv ou un V.
Il y a une corrélation étroite de la sémantique
et des fonctions syntaxiques de
N. Elle se manifeste dans le fait que
les N concrets formant le noyau
de N ont
d’habitude la fonction
primaire dans la proposition; les
N abstraits se rapportant à la périphérie de N ont la fonction secondaire. Pourtant
les uns comme les autres peuvent être employés dans les fonctions
qui ne leur sont pas propres,
dans celles des sous-classes opposées.
L’emploi
des N abstraits
dans les fonctions du
sujet ou des compléments est
lié à la métaphorisation de la
proposition ou à la formation des locutions
figées ou analytiques : La
soudaineté de cet événement a
surpris tout le
monde ; Il a reçu la permission de s’ab-
senter (=on lui a permis …).
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Le substantif
Le substantif
1.4. Catégories grammaticales des substantifs.
La catégorie du genre est très spécifique en français,
surtout sur le plan de l'expression. Quant au plan du contenu, à la différence
du genre des verbes et des adjectifs qui est une catégorie modificatoire, le
genre des substantifs, pour la plupart des cas, est une catégorie
classificatoire.
Sur le plan
de l'expression, il faut distinguer la forme écrite et la forme orale de la
langue. Dans la forme écrite, le genre est formé surtout par agglutination (le
féminin se forme sur le masculin), puis viennent la flexion et les moyens
analytiques (invariabilité du nom). Dans la forme orale, le procédé analytique
vient en premier lieu, l'agglutination adopte une forme inverse: c'est le
masculin qui dérive du féminin par le retranchement de la consonne finale.
L'invariabilité du nom augmente le rôle du groupe syntaxique dans l'expression
du genre dans l'énoncé. On ne saurait prétendre cependant que le genre du nom
s'exprime exclusivement par les articles.
Sur le plan
du contenu, on trouve trois interprétations du sens du genre des noms: a) cette catégorie est toujours formelle,
résiduelle, ne représente que l'accord syntaxique; b) elle est toujours significative; c) l'approche fonctionnelle qui distingue deux catégories de noms
par rapport au genre: les noms animés, où le genre peut être significatif
(genre réel ou naturel), et les noms inanimés où le genre est asémantique,
formel. La régularité dé la formation des féminins des noms animés par
l'agglutination ou la flexion intérieure permet de con-clure que nous avons là
une catégorie modificatoire.
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Le substantif
1.4 Catégories grammaticales des substantifs.Le substantif
La catégorie du nombre des
substantifs est très spécifique en français. Sur le plan de l'expression, elle
se caractérise par l'irrégularité de ses formes, notamment dans la langue
parlée. La langue écrite emploie principalement, pour l'expression du pluriel,
le procédé d'agglutination (adjonction de la lettre -s ou -x), qui ne se
prononce pas à l'oral, le pluriel ne s'exprime pas souvent, ou se reconnaît aux
liens syntaxiques. La nature grammaticale du [z] de liaison fait l'objet de
discussions théoriques.
Le contenu
de la catégorie du nombre présente de grandes difficultés, en premier lieu à
cause de l'existence de l'article partitif; la sémantique du nombre et de
l'article a pour base la nombrabilité des objets. Deux oppositions:
continuité/discontinuité (d'ordre lexical surtout) et unicité/pluralité
(d'ordre grammatical) s'enchevêtrent, sont exprimées à l'aide des formes du
nombre et des articles (le, les, un, des, du). Damourette et Pichon ont
distingué deux aspects du nombre: blocalité et putation. Les théories du
nombre diffèrent par l'opposition que l'on prend pour base:
pluralité/non-pluralité, détermination/ indétermination, continuité
/discontinuité, unicité/pluralité/non-nombrabilité. Mais c'est l'opposition
sémantique: noms numériques/ anumériques qui doit servir de fondement à la
catégorie grammaticale du nombre.
Sur le plan du contenu tous les substantifs se divisent
en deux grands groupes: noms numériques (noms d'êtres, d'objets discontinus) et
anumériques (noms de matière, noms uniques, noms collectifs, noms abstraits,
noms propres). Pour les noms numériques, la catégorie du nombre est sémantique:
elle exprime l'opposition singulier/pluriel. Dans les noms anumériques elle est
formelle, asémantique. Lors de la recatégorisation, c'est-à-dire du passage du
nom d'une sous-classe à une autre, celui-ci peut recevoir ou perdre la
possibilité de prendre la marque du pluriel.
Outre sa
fonction primaire qui consiste à exprimer l'opposition singularité/pluralité,
la catégorie du nombre peut remplir des fonctions secondaires. Ce sont la
neutralisation (où le mot exprime un sens générique), la transposition
(l'emploi du pluriel avec des mots anumériques) et la fonction asémantique
distinctive. En cas de neutralisation on emploie de préférence la forme du
singulier, forme non marquée. En cas de transposition, le pluriel peut exprimer
la pluralisation, la diversification des objets, l'itération de l'action ou,
enfin, l'intensité.
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Le substantif
1. Основная содержательная проблематика модуля
Le substantif
1. Основная содержательная проблематика модуля
1.1 Substantif comme partie du
discours.
1.2. Classes
sémantico-grammaticales des substantifs.
1.3. Groupe syntaxique
nominal. Fonctions syntaxiques des
substantifs.
1.4. Catégories grammaticales des
substantifs.
Конспект лекции
1.1 Substantif comme partie du discours.
Le nom ou le substantif (N) est la principale partie dénominative du discours. Il est
caractérisé par les trois aspects suivants: valeur sémantique, formes
(catégories grammaticales), fonctions syntaxiques.
Le N
désigne des substances (choses, êtres, phénomènes), mais comme il est aussi une
forme grammaticale, n'importe quelle notion peut être comprise
«substantivement» pour former un substantif. C'est ainsi que le N peut exprimer aussi une qualité ou une
notion abstraite. Les noms des êtres et des choses constituent le noyau de la
classe des N. Les noms d'action, les
noms de qualité, les noms abstraits en forment la périphérie. Ils ne possèdent
pas toutes les catégories du N, sauf
s'ils changent de sens. Ils remplissent les fonctions secondaires du N. Souvent, ce ne sont que des dérivés
des autres parties du discours.
Le N français possède les catégories du
nombre et du genre. De nombreuses grammaires y ajoutent encore la catégorie de
détermination exprimée par l'article, mais comme celui-ci ne fait pas un tout
morphologique avec le nom, il serait plus juste de la considérer comme
catégorie syntaxique se réalisant dans le groupe nominal.
Le N est la
partie du discours la plus polyvalente de toutes. Ses fonctions primaires
découlent de sa fonction sémantique qui est celle de désigner les substances.
Ce sont: le sujet, les objets directs et indirects, les attributs
identificateur et classificateur, l'apposition, les compléments de lieu et de
temps. Dans ses fonctions secondaires, il se substitue à d'autres parties du
discours ou bien à des propositions entières. Ce sont: l'attribut déterminatif,
l'épithète, les compléments circonstanciels de manière, de cause, de concession,
de condition, de but. Elles sont remplies surtout par des N appartenant à la périphérie de la classe.
пятница, 26 сентября 2014 г.
четверг, 25 сентября 2014 г.
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